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Pierre Gattaz, le hussard sur le toit – La Tribune.fr

A l’orée de l’ouverture, mercredi à 14 heures de l’université d’été du Medef sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas, Pierre Gattaz, peut se targuer d’une première « victoire ». Reçu hier à Matignon dans le cadre des dernières consultations sur la réforme des retraites, le nouveau « patron des patrons » s’est réjoui d’une « ouverture » du gouvernement à la demande patronale d’une nouvelle baisse du coût du travail, qui viendrait compenser la hausse, désormais probable des cotisations sociales salariés et employeurs. Le président du Medef a évoqué un possible accord pour un « transfert des cotisations de la branche famille vers d’autres vecteurs fiscaux ».

Si la nouvelle se confirme dans les jours qui viennent, elle est d’importance : c’est rien moins qu’un retour de la « TVA sociale », réclamé par le patronat, qui serait dans les tuyaux, sous une forme à préciser. Rien n’est encore fait et s’il a abandonné la posture du « patronat de combat » dont il a usé pendant la campagne interne au Medef, Pierre Gattaz pourrait bien afficher finalement un profil beaucoup plus ouvert au dialogue.

L’université d’été du Medef 2013 – intitulée « Crise : du danger à l’opportunité » (en reprenant les deux idéogrammes chinois qui permettent d’écrire le mot « crise ») – devrait montrer le visage d’un Medef uni et rassemblé après les inévitables tensions de l’élection, et permettra de prendre le pouls de la base patronale qui devrait faire une montée en force sur le campus d’HEC où l’on attend près de 5000 personnes sur les trois jours de la messe patronale. Une base qui, à entendre Pierre Gattaz, est très remontée contre les augmentations d’impôts et de charges et reste très sceptique sur le frémissement de la croissance. En clair, toute hausse de cotisations et a fortiori d’impôts est ressentie comme un casus belli.

Pour le président du Medef, la coupe est pleine. Il y a 100 milliards d’euros de trop sur la tête des entreprises, dont la moitié correspond aux charges sociales et l’autre aux 150 impôts et taxes diverses qui alourdissent la barque. « Taxer n’est pas réformer », répète à l’envi Pierre Gattaz sur toutes les ondes en ajoutant que « surtaxer crée du chômage ». Ce n’est donc pas par hasard si l’un des temps forts du programme remanié de l’université d’été sera jeudi la table ronde sur « la France, enfer fiscal ? », dont on se demande pourquoi le Medef a tenu à mettre un point d’interrogation.

Le ton est donc donné, mais on aurait tort de penser que Gattaz fils veut entamer tout de suite un bras de fer avec François Hollande (qu’il n’a rencontré jusqu’ici qu’une seule fois). Les enjeux sont trop importants et le nombre des réformes à mener d’ici la fin de l’année trop nombreux pour risquer le clash. Certes, il y a bien, dans la base patronal, une envie d’en découdre. Certains parlent même ouvertement d’une « grève de l’embauche » ou de l’investissement. Mais alors que sont ouvert simultanément les chantiers des retraites, de la formation professionnelle et de l’assurance-chômage, les instances dirigeantes du patronat sont plutôt sur une ligne de dialogue, ferme, mais ouvert, du moins pour l’instant.

En témoigne la tribune publié ce lundi dans « Le Monde » par le conseil d’administration de l’AFEP (Association française des entreprises privées, qui regroupe les principales grandes entreprises du SBF 120 – le CAC 40 pour simplifier). Présidée par Pierre Pringuet, le patron de Pernod-Ricard, un ancien rocardien, l’AFEP appelle à « relancer la croissance et l’emploi » et estime que la méthode la plus efficace pour répondre à ces défis « passe par un dialogue ouvert entre les partenaires sociaux et les pouvoirs publics », soulignant que pour leur part, les entreprises y sont prêtes.

De fait, on le voit bien, entre la CFDT et la CFTC, sur une ligne réformiste, qui ne s’associent pas à la mobilisation du 10 septembre où défileront les troupes de la CGT et de FO, et les déclarations multiples à gauche avertissant des dangers d’une nouvelle hausse des impôts dans le climat de reprise, le climat est plutôt propice à un accord gagnant-gagnant pour une politique raisonnable de réformes.

Le « combat » du hussard Gattaz, qui a pris la peine d’intituler l’une des conférences « l’art de la guerre » et d’inviter deux généraux à s’exprimer, n’est cependant peut-être que partie remise. Comme l’avait dit Laurence Parisot, la partition patronale à venir sera celle du Boléro de Ravel, elle se fera entendre crescendo et sera répétitive pour bien marteler le credo : la victoire de l’emploi repose sur les entreprises et rien ne sera réussi sans leur donner un environnement social, fiscal et juridique plus favorable. Mais si le Medef ne veut pas revivre le scénario des 35 heures imposées de force, le gouvernement n’a pas non plus intérêt à rompre son dialogue avec le monde de l’entreprise. Ce qu’il faut, selon Pierre Gattaz, c’est un « pacte de confiance ». Comme il l’a dit hier à Jean-Marc Ayrault, le gouvernement a tout intérêt à globaliser les réformes qui se succèdent les unes après les autres pour éviter l’effet désastreux qui veut qu’à chaque problème s’ajoute une taxe. C’est d’ailleurs ce « deal » qu’il a proposé sur les retraites : OK pour une faible hausse des cotisations (y compris pour le compte pénibilité), mais en échange d’une poursuite de la baisse globale des charges. C’est un accord de principe en ce sens que Pierre Gattaz semble avoir reçu, ce lundi, à Matignon.

Dans un monde idéal, l’espoir secret du Medef serait un transfert de 50 milliards d’euros de charges (branche famille pour 34 milliards, santé…) vers un mix fiscal de TVA, qui serait alors portée en trois ans de 20% à 23% plus un peu de CSG pour faire le compte. A ce choc de compétitivité, certes risqué pour le pouvoir d’achat, mais absorbable en ce temps de faible inflation, le Medef veut d’ailleurs y associer une deuxième « hélice », consistant en une baisse de cotisations salariales pour augmenter le salaire net et promet de faire pression sur le secteur de la grande distribution pour que les comportements de marges restent vertueux. Le pari est évidemment risqué et on voit mal pour l’instant la gauche assumer cette TVA sociale, sauf, peut-être dans le cadre d’une réforme globale pour la compétitivité et l’emploi. Un programme à la Schröder, dont rien ne dit, à ce jour, que François Hollande est prêt à le reprendre à son compte. Mais le Medef, qui a lui-aussi mis en chantier une prospective sur la France des années 2020, n’entend pas relâcher la pression. Ce sera là le principal mandat de Pierre Gattaz : remonter inlassablement sur sa monture pour rabâcher sans cesse qu’à force d’atermoiements, la France est en train de gâcher ses atouts et ses chances de profiter autant que les autres pays de la reprise mondiale en cours.

Source Article from http://www.latribune.fr/opinions/editos/20130826trib000781676/pierre-gattaz-le-hussard-sur-le-toit.html
Source : Gros plan – Google Actualités

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