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Dialogue patronat-syndicats : pour un pacte d’innovation sociale ! – La Tribune.fr

« Les pays qui réussissent sont ceux où le dialogue social est porteur de dynamiques favorables à l’entreprise et à ses salariés », affirmait le rapport Gallois en novembre 2012.

Cette simple phrase pourrait s’inscrire en lettres d’or au fronton des ministères, être gravée sur les murs des salles de réunion des conseils d’administration de nos entreprises, affichée dans les locaux syndicaux de la France entière et jusque dans les amphithéâtres de nos écoles de commerce, pourtant réputées hors de nos frontières. Car cette vérité, frappée au coin du bon sens, vécue comme une évidence dans les pays économiquement performants, notre nation, elle, peine à la faire sienne.

Découverte suspicieuse, expérimentation craintive… Dirigeants politiques, patronat, responsables syndicaux, peu nombreux sont ceux qui, dans notre Hexagone frileux, acceptent d’entendre ce message. Entendre au sens de comprendre ! « France, écoute… » Que faut-il pour que ce message de raison passe enfin ? Ce qui est certain, c’est que nous ne ferons pas l’économie d’une révolution des mentalités, si nous voulons éviter le déclin !

Certes, depuis quelques années, un effort réel a été engagé pour rénover le dialogue social en profondeur. Depuis 2008, une série de négociations a ouvert une nouvelle ère de démocratie sociale aussi bien dans le secteur privé (à travers la loi du 20 août 2008) que public (loi du 5 juillet 2010). Plus récemment, l’« Accord compétitivité-emploi » issu de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 et le « Pacte de responsabilité » annoncé par le gouvernement, ont permis de placer le dialogue social sur le devant de la scène.

« Nous de ferons pas l’économie d’une révolution des mentalités, si nous voulons éviter le déclin ! »

Certes, le dialogue social n’est désormais plus un simple concept, une sorte d’incantation… À gauche comme à droite de l’échiquier politique, en passant par le centre, il acquiert des lettres de noblesse, jusqu’à être reconnu parfois – à mots couverts – pour ce qu’il est : un formidable levier de compétitivité pour l’économie française. Reste que de la théorie à la pratique, le chemin en France est toujours long… trop long ! Or, le temps est compté : alors qu’en Europe nombre de pays commencent à renouer avec la croissance, la France peine à se redresser.

Pourquoi ? Parce que malgré des progrès et de nombreuses exceptions, la qualité du dialogue social dans notre pays est mauvaise ! Les récentes enquêtes internationales (« European Value Survey » et « International Social Survey Programme ») sont tristement éclairantes.

Et le rapport mondial 2013-2014 sur la compétitivité, publié par le Forum de Davos, nous donne à voir la vérité sans fard : notre pays se classe au 135e rang sur 148 pour la qualité de ses relations de travail. Nous étions 137e en 2012-2013 !

Rares sont les dirigeants politiques, patronaux et syndicaux qui osent faire concrètement le lien entre dialogue social et performance économique, en tirer les conséquences, et le clamer haut et fort. Les Français n’ont pas ces réserves. Un récent sondage (réalisé les 14 et 15 janvier derniers auprès d’un échantillon de 1.061 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus) d’OpinionWay pour Société en mouvement montre clairement que nos compatriotes sont à la fois lucides et pleins d’espoir.

83% d’entre eux considèrent que les relations actuelles entre syndicats et employeurs sont un facteur d’inertie et même un frein pour la croissance et la performance des entreprises. 82%les jugent tout aussi inefficaces en matière d’emploi. L’Allemagne, estiment-ils encore, offre le meilleur modèle de relations sociales (40%de citations), devant la Suède (25%), la France ne recueillant qu’un infime suffrage (5%). Pourtant, et c’est là une leçon majeure de cette enquête, ce constat ne les empêche pas d’exprimer de très fortes attentes en ce domaine.

Nos compatriotes sont, à une très large majorité, conscients qu’un dialogue social de qualité serait un moyen d’améliorer les conditions de travail des salariés (81%), de contribuer à la croissance et à la performance des entreprises (74%) et de développer l’emploi (72%).

En dépit de la mauvaise image dont souffrent les syndicats, un Français sur deux estime également qu’un nombre plus élevé d’adhérents syndicaux aurait un impact sur la qualité du dialogue social en France, et plus d’un sur trois pense qu’elle améliorerait la performance économique de notre pays. En ce qui concerne leurs conditions de travail, près de quatre Français sur cinq (79%) considèrent qu’elles doivent être déterminées par l’accord collectif à l’échelle de l’entreprise, primant ainsi sur la législation ou les accords nationaux.

Le sens de ce message est clair. Face au défi que représente la crise économique durable que nous connaissons aujourd’hui, rester campé sur des positions d’un autre temps serait suicidaire. Les Français attendent qu’ensemble et de façon urgente nous repensions notre modèle de relations sociales et que nous mettions le social et l’économie en interaction.

Syndicalisation : les français à la traîne

Inutile pour cela d’aller chercher ailleurs et d’inventer de nouveaux modèles : des exemples éprouvés existent en France, tant dans le secteur privé que public. Un exemple : la charte de reconnaissance du parcours syndical mise en place par la société AXA en avril2009 et dont une collectivité territoriale (la ville de Suresnes) s’est inspirée en signant sa propre charte, en octobre de la même année.

Ces deux innovations témoignent que la recherche de compromis permet de trouver le point d’équilibre entre des logiques multiples : sociales, économiques et financières. Et que les accords conclus dans ce cadre sont toujours « gagnant-gagnant », pour tous et à long terme.

Un dialogue social, pour être efficace, doit être fondé sur une confiance réciproque entre les partenaires en présence. Il suppose aussi que ces derniers soient représentatifs. D’où la nécessité d’avoir des syndicats forts et légitimes, assurés d’un large pouvoir venu des urnes. Or, c’est là que le bât blesse : nos organisations syndicales sont boudées par les citoyens. Avec 8% d’adhérents, la France détient le triste record du taux de syndicalisation le plus bas des pays de l’OCDE. L’exercice d’un mandat syndical est, dans notre pays, trop souvent marginalisé, réduit à sa dimension contestataire et même vécu comme un frein à une carrière professionnelle. Se syndiquer et prendre des responsabilités, dans ces conditions, exige d’avoir la foi du missionnaire !

La France aura le dialogue social qu’elle mérite. Un dialogue efficace et de haut niveau, avec des représentants syndicaux de haut niveau, à condition que soient levés sans plus attendre tous les blocages qui entravent aujourd’hui ces relations. À condition, précisent les Français très pragmatiques, que les acteurs de ce dialogue social soient mieux formés : les managers aux relations sociales et les syndicats aux enjeux économiques et sociaux de l’entreprise (opinion de respectivement 81% et 79% des sondés OpinonWay). À condition aussi que les syndicats soient associés à la réflexion stratégique des entreprises (73%) et que les compétences acquises dans l’exercice de leur mandat soient professionnellement valorisées (64%).

Les pratiques innovantes adoptées en France, ici et là, sont autant de messages d’espoir. Des évolutions remarquables sont intervenues depuis 2008. Toutes les conditions sont maintenant réunies pour que les partenaires patronaux et syndicaux du dialogue social se retrouvent autour d’une même table pour porter, ensemble, cette nouvelle dynamique. La discussion engagée au Parlement autour de la loi sur la formation professionnelle, la démocratie sociale et l’emploi est une belle occasion de passer à l’acte.

Source Article from http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20140226trib000817285/dialogue-patronat-syndicats-pour-un-pacte-d-innovation-social-.html
Source : Gros plan – Google Actualités

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