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Cinq familles devant la justice – Paris Match

Ensemble, cinq familles demandent des comptes aux laboratoires GSK, Pfizer, et Sanofi. Elles attendent de la justice la reconnaissance des effets secondaires des vaccins et une indemnisation pour leurs enfants aujourd’hui handicapés. Me Hartemann, leur avocat, a plaidé leurs dossiers, vendredi dernier, devant le Tribunal de Bobigny.

A l’issue d’une heure trente de plaidoirie, Me Hartemann se dit « plutôt agréablement surpris » par le verdict de l’audience : les laboratoires ne s’opposent pas au lancement d’expertises médicales pour quatre des cinq dossiers. Un premier feu vert qui, s’il est confirmé, ouvrira la voie à des examens complémentaires et à la recherche de maladies rares chez ces enfants qui, après avoir reçu des injections de vaccins ont présenté des troubles neurologiques graves. « Des séquelles comparables à des traumatismes crâniens ou à des épilepsies énormes qui auraient endommagé le cerveau », précise l’avocat. Il s’agit d’enfants qui ne présentaient aucun problème de santé », poursuit-il en insistant sur la similitude des histoires, «et qui, suite à la première injection ou au rappel, ont d’un seul coup arrêté d’évoluer et présenté des dommages très importants ».

Sandrine: «Qu’est-ce qui a pu enlever à Nello la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur?»

Nello (3 ans), Naomie (4 ans et demi), Lucia (3 ans), Lolita (18 mois), Terry (15 ans)… des enfants qui se développaient tout à fait normalement et dont l’état s’est progressivement dégradé dans les jours ou semaines qui ont suivi les vaccinations. Très forte fièvre, pleurs impossibles à calmer, perte du tonus musculaire, raidissement du corps… autant de signes alarmants observés par leurs parents. Aujourd’hui, ces enfants ne marchent pas ou plus, ne parlent pas, ne tiennent pas leur tête, ont des difficultés pour manger, boire, saisir les objets… Les divers examens et prélèvements réalisés en neuropédiatrie n’ont pas permis d’identifier la cause de leur affection. Nello a fait une très forte fièvre suite à un rappel de Priorix (vaccin du laboratoire GSK contre la rougeole, les oreillons, la rubéole), à 19 mois. Une semaine après, ses parents remarquent qu’il fait du « quatre pattes » les

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pouces repliés à l’intérieur des mains. Huit jours plus tard, il prend appui sur les poings, et chute comme « Bambi sur la glace ». Un mois plus tard, Nello part aux urgences : il pousse des hurlements de douleur, son corps est en boule, ses muscles rigidifiés. Une IRM de son cerveau a mis en évidence une atrophie de la substance blanche (myéline). La batterie d’examens qu’il a subis ont écarté les causes génétiques, infectieuses et traumatologiques. «Qu’est-ce qui a pu lui enlever la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur?», demande Sandrine, sa mère.

« Naomie, née prématurée, allait très bien jusqu’à ce qu’elle reçoive, à 14 mois, une première injection d’Infanrix Hexa (vaccin du laboratoire GSK contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, et l’haemophilus influenzae type B) et de Prevenar 13 (vaccin du laboratoire Pfizer contre les infections à pneumocoque)», raconte Monia, sa mère. Après une semaine de pleurs incessants, la petite part aux urgences : strabisme et perte du tonus musculaire (elle ne tient plus assise). Les médecins ne posent pas de diagnostic. 

Lucia a failli mourir d’une encéphalite qui l’a laissée aveugle et tétraplégique

Deux mois après que Lucia, à 18 mois, a reçu les rappels d’Infanrix Hexa et de Priorix, sa mère la retrouve inconsciente dans son lit, « comme une poupée de chiffon ». A l’hôpital, les médecins constatent une inflammation au niveau du cerveau. Trois jours après, elle est opérée en urgence d’une encéphalite qui a failli lui coûter la vie et dont elle s’est réveillée, après un mois de coma, aveugle et tétraplégique. Ni maladie inflammatoire ni virus n’ont été mis en évidence dans cette atteinte neurologique.

Pas plus de diagnostic pour la petite Lolita, 18 mois, chez qui les premiers troubles sont apparus quinze jours après la première injection d’Infanrix Hexa et de Prevenar 13, à 2 mois, lorsqu’elle fait une sorte de malaise avant de revenir à elle: « Le corps raidi, elle râlait, bavait, et ne réagissait plus à la lumière », raconte sa mère. Suite à la deuxième injection, à 3 mois, la petite part aux urgences ophtalmologiques :  «Ma fille était comme une larve, les mains fermées, le pouce à l’intérieur, et ne tenait plus sa tête.» Pour Lolita, à ce jour, les recherches génétiques n’ont rien donné.

Atteint d’une encéphalite « non étiquetée » à 12 mois, Terry, 15 ans, est aujourd’hui handicapé à 80%. Chez lui, les premiers signes sont apparus après la première injection, à 2 mois et demi, de Pentacoq, (vaccin Sanofi retiré du marché en 2005, contre la coqueluche, l’haemophilus de type b, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite): forte fièvre, cris persistants, bronchite chronique et, trois semaines après, paralysie du côté  gauche (de la hanche au bras).    

Tous les parents témoignent de l’impossibilité d’envisager, auprès des médecins, la responsabilité des vaccins. « Professeurs, médecins et neuropédiatres, tous ont refusé cette hypothèse. C’est un sujet totalement tabou», raconte Lionel, le papa de Nello. «Pour eux, le lien avec les vaccins est impossible car aucune étude scientifique ne le montre», ajoute Sabrina, la mère de Lucia, qui évoque le terrain génétique : « C’est peut-être un risque rare, sur une certaine population d’enfants. »

Le Dr Claude Béraud met en garde sur les conséquences des polémiques sur les vaccins

Dans un point nuancé sur les polémiques autour de certains vaccins, le Dr Claude Béraud rappelle que les risques de maladies neurologiques n’ont pas été démontrés par des études cliniques, biologiques, et épidémiologiques. Et précise, pour l’hépatite B et le risque de sclérose en plaques que « si les études ne confirment pas le lien, elles ne permettent pas davantage de l’exclure ». Pour le médecin, les conséquences de ces polémiques sont graves car « elles induisent, dans  une partie de la population le rejet de l’ensemble des vaccins, qui constituent avec les antibiotiques, les deux classes de médicaments les plus utiles à la santé des hommes ».

Aujourd’hui, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont obligatoires. Mais il n’est plus possible pour un enfant de moins de 6 ans de recevoir le DTPolio, qui a disparu du marché en 2008. Les parents, amers, dénoncent un manque d’information de la part des médecins. Pour la plupart, ils ignoraient le mélange des vaccins obligatoires et recommandés dans le geste médical. « Cet état de fait soulève, selon un expert du médicament, la question des interactions vaccinales, qui est un non-dit. Et cela pose un problème juridique. » Dans le schéma existant, l’Etat, au titre de la solidarité nationale, répare un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire à travers l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux). « Même si les juges reconnaissent que c’est bien le vaccin qui a causé l’encéphalopathie, le fait qu’il y ait des valences non obligatoires peut empêcher l’indemnisation de la famille», poursuit l’expert. Comment prouver que le dommage a été causé par le vaccin obligatoire ?

Me Hartemann, qui sait que les labos vont se battre sur la causalité du vaccin dans le dommage, espère qu’un arrêt de jurisprudence va peser dans la balance. En 2012, après 17 années de procédure, le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité du vaccin Pentacoq (5 virus) dans l’apparition d’un handicap à 95% chez un bébé de 5 mois.  Pour l’expert du médicament, « c’est un revirement favorable probablement dû à la conscience des juges. Ils ont eu pour la première fois le raisonnement inverse : parce que le Pentacoq mélange les vaccins obligatoires et recommandés, ils ont considéré, par assimilation, que le dommage avait tout aussi bien pu être causé par un vaccin obligatoire ».

L’avocat compte aussi sur le faisceau d’éléments (temporalité, enfants en bonne santé avant la vaccination…) pour que les familles obtiennent réparation. Pour le dossier le plus ancien, celui de Terry, les laboratoires invoquent la prescription. A moins que ne soit prouvée la responsabilité de Sanofi pour produit défectueux. Prochain rendez-vous le 19 février : les familles sauront si les expertises médicales sont accordées.

Les familles sont membres de l’association Nello Espoir Avenir Guérison

Source Article from http://www.parismatch.com/Actu/Sante/Cinq-familles-devant-la-justice-547305
Source : Gros plan – Google Actualités

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